Une évocation de Nicolas Maillard

L'histoire des “Aventuriers de l'Esprit” commence en 1998. Cette année-là, je fais la connaissance de Nicolas Maillard. Nicolas est un grand jeune homme aux beaux yeux bleus. Il a l’allure typique des journalistes indépendants et passionnés qui passent des heures à vous parler de leur enquête du moment et qui réussissent toujours à vous persuader de son importance capitale pour le reste du monde.

Je connaissais déjà Nicolas Maillard de réputation : il avait enquêté sur le fameux film de “l’autopsie de l’extraterrestre de Roswell”, qui montrait le cadavre d’un extraterrestre ausculté et charcuté par des médecins. Selon son diffuseur, un producteur anglais, il s’agissait d’un film authentique, datant de 1947, l’année où, dans l’état du Nouveau-Mexique aux États-Unis, une soucoupe volante se serait écrasée à quelques 200 km de la base militaire de Roswell. Cette fameuse autopsie avait défrayé la chronique au milieu des années 90, et Nicolas était le seul journaliste français à avoir tenté de remonter la piste du réalisateur, quelque part en Allemagne (Pierre Lagrange évoque l’enquête de Nicolas dans son livre La Rumeur de Roswell). Mais Nicolas n’avait pas eu le loisir de terminer son enquête. La chaîne de télévision pour qui il travaillait alors (celle qui vend du temps de cerveau disponible aux marchands de soda) avait décidé d’arrêter les frais. L’audimat avait atteint des sommets et l’opération commerciale était fructueuse. Alors l’origine véritable du film…

Mais lors de ma première rencontre avec Nicolas, nous n’avons guère parlé de Roswell. Nous avons parlé de parapsychologie. C’était à Cachan, près de Paris, dans les locaux de la revue Science Frontières pour laquelle j’étais alors journaliste. Nous avons abordé en particulier l’histoire du sous-marin américain USS Nautilus, à bord duquel un “sujet psi” aurait participé à une incroyable expérience de télépathie, en 1959…

Je connaissais bien cette histoire du Nautilus car quelques mois plus tôt, j’avais soutenu mon mémoire de maîtrise en Lettres Modernes, à l’université Sorbonne-Paris IV, à propos de la revue Planète et de l’ouvrage de Louis Pauwels et de Jacques Bergier, Le Matin des Magiciens. Et c’était dans ce livre qu’on trouvait la recension la plus complète de l’incroyable l’expérience du Nautilus… Expérience alors très récente puisqu’elle aurait eu lieu en juillet 1959, soit à peine un an avant la publication du livre. Nicolas avait découvert que la même histoire avait fait la couverture du numéro de janvier 1960 du célèbre magazine Science & Vie, sous la plume de … Gérald Messadié ! (En réalité, la première mention de cette histoire se trouvait bien chez Bergier, dans la petite revue Constellation, à la fin des années 50… Revue dans laquelle, comme il avouera plus tard dans sa biographie Je ne suis pas une légende, il se plaisait à fabriquer des canulars plus inventifs les uns que les autres…).

Mais, qu’elle soit authentique ou inventée de toute pièces par Bergier, l’histoire du Nautilus restait, selon Nicolas, d’une importance capitale, parce qu’elle était sans doute à l’origine des programmes militaires liés à la parapsychologie, financés par les deux grandes puissances à partir de la fin des années 1960… L’URSS devait avoir eu vent, très rapidement, de l’article de Sciences & Vie parlant de recherches secrètes de l’armée américaine sur la télépathie… Et derrière le rideau de fer, on aurait entamé des recherches sur le même sujet… Sur place, les agents secrets américains s’étaient mis à envoyer des rapports sur cette activité nouvelle des Russes, rapports qui auraient convaincu les militaires de financer un programme de recherche… L’histoire de Bergier aurait donc été, incidemment, à l’origine du fameux “projet Stargate” américain ! (Aujourd’hui encore, la grande majorité des dossiers de ce projet militaro-scientifique est encore classée “Secret Défense”). Nicolas avait consacré un bref article à cette histoire dans la revue Anomalies - L’Observateur des Parasciences (n°2, janvier 1997, p.15).

Au cours de notre discussion, Nicolas en vint à m’apprendre qu’il comptait consacrer un chapitre à cette histoire de l’USS Nautilus dans un livre qu’il préparait : une ambitieuse “histoire de la parapsychologie”. D’ailleurs, il passait beaucoup de temps à l’Institut Métapsychique International, place de Wagram à Paris, pour y consulter archives et bibliothèque : “Viens donc y faire un tour, tu verras, je suis certain que ça t’intéressera beaucoup !”. J’acceptai l’invitation avec un réel plaisir et une grande curiosité. L’IMI… N’était-ce pas ce vénérable lieu de la métapsychique française qui abritait encore les si curieux “moulages ectoplasmiques”, qu’on disait être des empreintes d’authentiques fantômes ?!

L’invitation de Nicolas n’était pas tout à fait désintéressée, comme je m’en rendis compte bien vite. L’IMI, fondé en 1919 par quelques savants et intellectuels, dont Charles Richet, prix Nobel de médecine en 1913, et le célèbre astronome Camille Flammarion, fut bientôt reconnu d’utilité publique par le Ministère de l’Intérieur de l’époque et produisit d’importants travaux en métapsychique expérimentale. A sa tête se succédèrent quelques fortes personnalités, comme les Dr. Gustave Geley et Eugène Osty, ou le chimiste René Warcollier… C’était la grande époque, l’Âge d’Or d’une métapsychique triomphante, qui n’allait pas tarder à révolutionner toute la science occidentale…

Mais en 1998, soit quatre-vingt ans plus tard, le prestige de l’IMI avait lentement disparu sous des couches de poussière et d’oubli. Presque seuls, Dr. Hubert Larcher et Jean Barry avaient réussi à maintenir le navire à flots, mais ils avaient dû restreindre au maximum les activités de l’Institut. Puis, au début des années 90, l’IMI traversa une période vraiment difficile, à la fois financièrement et au niveau de ses activités. Mais au milieu des années 90, Nicolas Maillard devint membre du Comité Directeur. Il y insuffla son énergie et sa vigueur, et fit venir quelques-uns de ses amis et relations, dont le journaliste Didier Dufresnoy (qui fit beaucoup pour ré-organiser l’IMI à tous points de vue, avec Nicolas), Pierre Lagrange, le journaliste Erik Pigani, etc.

Quand je visitai l’IMI en 1998, il y avait alors deux caves encombrées de cartons : des ouvrages, des correspondances, et surtout de très nombreux exemplaires de la Revue Métapsychique, que l’IMI publia de 1921 à 1991 (pour l’ultime numéro, sorte de “revival” consacré entièrement au neurone, publié sous l’impulsion de Jean Barry). Et pour trier et répertorier tout ça, il fallait des bras courageux… Nicolas s’était débrouillé comme un chef pour me convaincre de passer des semaines entières dans ces deux caves humides et poussièreuses !

Avec l’aide précieuse d’un ami commun, le journaliste Eric Bony, avec qui je travaillais alors à Science Frontières, je rangeai et comptai toutes ces revues, en maudissant la parapsychologie d’avoir produit tant de littérature ! Pendant ce temps-là, Nicolas continuait ses recherches pour son ouvrage, tout en s’occupant avec Didier Dufresnoy des aspects administratifs et financiers de l’IMI. Il dormait fréquemment dans l’un des bureaux, avec un simple sac de couchage et des piles de vieux livres racornis autour de lui. Il s’occupait même de rafraîchir les locaux du vénérable Institut (il avait convaincu deux de ses connaissances de faire le voyage depuis le sud de la France jusqu’à Paris, bénévolement, pour repeindre les murs !).

Mieux, Nicolas avait convaincu Mario Varvoglis, docteur en psychologie expérimentale qui avait participé à des recherches au Maimonides Hospital de New York, dans les années 1980, avec Chuck Honorton, de devenir le nouveau président de l’IMI. Indiscutablement, l’enthousiasme de Nicolas était communicatif. Je ne crois pas exagérer en affirmant que sans l’énergie qu’il déploya à cette époque, l’IMI n’existerait peut-être plus aujourd’hui. Si l’IMI s’est finalement “réveillé”, c’est en grande partie grâce à Nicolas qu’on le doit.

Au début de l’année 2000, plusieurs mois avaient passés sans que je voie Nicolas, qui était finalement reparti dans le Gers, où il s’était installé dans la vieille maison de famille que lui avait prêté Pierre Lagrange à Auch. Il s’était établi là-bas, loin du tumulte parisien, essentiellement pour se consacrer à son manuscrit. Début 2000, son ami Eric Maillebiau, journaliste qu’il avait rencontré en 1995, le rejoignit pour l’aider à se concentrer sur son travail de rédaction. Mais quelques jours après l’arrivée d’Eric, Nicolas fut victime de soudaines douleurs au foie, très violentes… En mars 2000, il entrait aux urgences de l’hôpital d’Auch. Les analyses des médecins révélèrent bientôt un cancer généralisé, déjà à un stade très avancé… Cette nouvelle fut évidemment un choc pour tous les amis de Nicolas.

Le 10 juillet 2000, j’appris la nouvelle tant redoutée par un e-mail terriblement triste de notre ami commun, Pierre Macias : Nicolas venait de succomber, à l’âge de 31 ans, après plusieurs semaines d’agonie. La maladie avait atteint son cerveau, mais, loin d’abandonner, Nicolas voulait croire en une rémission, puisque l’esprit était plus fort que la matière… Ou bien, et c’est plus probable, il voulait faire croire à ses proches, à sa soeur et à ses parents en particulier, qu’il allait s’en sortir… Je ne faisais pas vraiment partie des “intimes” de Nicolas, et je ne connaissais pas sa famille. Devant ce drame, je m’étais alors complètement effacé, effaré par cette disparition si rapide et injuste.

Quelques mois plus tard, Pierre Lagrange me communiquait une copie imprimée et annotée du manuscrit de Nicolas. Il y avait environ 150 pages bien tassées. Ca foisonnait de références, de citations et de notes de bas de page. Je me souviens bien des mots de Pierre à l’époque : “Il faudrait tout de même en faire quelque chose, pour la mémoire de Nicolas. Et puis, le sujet est important. On n’a pas encore d’histoire véritable sur ce sujet”. Je gardai précieusement le manuscrit dans ma bibliothèque, où il resta de nombreux mois sans que je puisse avoir l’occasion d’en faire autre chose qu’un souvenir. Finalement, j’appris plus tard que c’était Eric Bony qu’on avait sollicité pour reprendre le manuscrit de Nicolas. Mais après quelques semaines de relecture, Eric m’avait confié qu’il lui serait bien difficile de se plonger dans ce travail, bien plus long qu’il ne l’avait envisagé à première vue. Il m’avait alors proposé de travailler avec lui. Mais là encore, j’avais décliné l’offre, certes attiré par ce défi, mais néanmoins persuadé que je n’avais pas “les épaules” pour m’impliquer dans un tel projet.

De longs mois passèrent encore avant que le journaliste Erik Pigani, directeur de collection pour les Presses du Châtelet, me contacte à son tour. Nous étions en décembre 2002. Cette fois, ma réaction fut instantanée : c’était le bon moment, je me sentais prêt, et puis, le destin semblait vraiment s’acharner : c’était la troisième fois qu’on me mettait le manuscrit entre les mains… En outre, cette proposition arrivait quelques jours seulement après que j’ai choisi de démissionner de la start-up dans laquelle je travaillais alors. Avec en filigrane, justement, le projet bien incertain de me mettre à écrire.

J’appris à cette époque que l’idée initiale du livre venait de Pigani, lequel en avait proposé la rédaction à Nicolas Maillard ainsi qu’à… Jacques Pradel ! Ils devaient rédiger ensemble un livre à deux plumes : Nicolas pour l’histoire des recherches en métapsychique/parapsychologie, et Jacques Pradel en tant que reporter de marque, interrogeant les parapsychologues d’aujourd’hui dans leurs labos, aux quatre coins du globe, un peu à la manière de Bernard Martino dans sa formidable série documentaire de 1990, Les Chants de l’Invisible (une série que tout amateur de parapsychologie se doit de connaître !).

Reprendre le manuscrit de Nicolas n’a pas été chose facile. Au départ, il n’était pas question pour moi de trahir son projet initial. Mais je me rendais compte, en lisant enfin à tête reposée son manuscrit, que j’étais sans doute moins enthousiaste que lui sur les légendes dorées de la métapsychique d’avant-guerre, et que, si je m’intéressais aussi beaucoup aux recherches sur “les portes de la perception”, je trouvais assez hors-sujet - voire tout à fait hasardeux ! - de traiter cette question, déjà fort controversée, dans un livre qui entendait par ailleurs défendre la légitimité scientifique de la parapsychologie. J’ai donc toujours gardé à l’esprit que le texte de Nicolas était resté inachevé ; et qu’il était justifié, en fin de compte, d’y apporter d’importants remaniements. J’ai commencé par “digérer” son manuscrit, en prenant de nombreuses notes sur sa progression, en vérifiant les sources de chaque citation (travail vraiment fastidieux), en comparant ses récits à ceux que je pouvais trouver ailleurs, etc. Parallèlement à ce travail, j’entamais la lecture des ouvrages sur l’histoire de la métapsychique et de la parapsychologie, et cela sans faire de sélection a priori en fonction de la “profession de foi” des auteurs.

Nicolas racontait l’histoire de la parapsychologie depuis les années 1872 en Angleterre, en commençant par les expériences de William Crookes avec Daniel Dunglas Home, jusqu’à la fin des années 1950, à propos des premières expériences avec substances hallucinogènes dans des labos américains. Il divisait l’ouvrage en deux grands chapitres, La Métapsychique (de 1872 à 1945) et La Parapsychologie (de 1945 à aujourd’hui). Je pris la décision, pour ma part, de découper l’ouvrage en trois chapitres : une première partie sur la mise en place de la métapsychique, entre 1850 et 1900 environ ; une deuxième partie sur les “années folles”, époque des grandes espérances et des dossiers fondateurs, entre 1900 et 1930 environ, et enfin, une troisième partie traitant de l’avènement de la parapsychologie moderne, que je situais quelque part entre les expériences de Warcollier et Osty en France et les premiers travaux de Rhine aux Etats-Unis.

De fait, j’ai laissé peu de choses de Nicolas sans les modifier. J’ai supprimé quelques chapitres, et largement complété plusieurs autres, comme par exemple : William Crookes et la médium Florence Cook, la création de la SPR dans les années 1870/80, le fameux ouvrage Fantasms of the Living, Charcot et la transe histérique, la fabuleuse Eusapia (les expériences de Richet sur l’île Roubaud), etc. J’ai aussi rajouté des chapitres, ou bien développé des épisodes qui n’étaient qu’à peine esquissés par Nicolas et que je considérais, pour ma part, comme capitaux : les débats autour des tables tournantes dans les années 1850 ; l’étude de la médimunité d’Hélène Smith par Théodore Flournoy vers 1900 ; l’épisode de la photographie du fils défunt de de Sir Oliver Lodge pendant la guerre ; les détails sur les expériences des moulages ectoplasmiques à l’IMI dans les années 1920, les chapitres sur Rudi Schneider et sur Pascal Forthuny, pratiquement toute la dernière partie (la parapsychologie moderne) et notamment les expériences du “laboratoire des rêves”, d’Elmut Schmidt, etc.

La grosse différence, finalement, entre le manuscrit qu’avait laissé Nicolas et le produit finalement publié, tient essentiellement à l’approche utilisée. Nicolas avait rédigé son livre de la même manière qu’il discutait de ses thèmes de prédilection : avec fougue et passion, emporté par son sujet. Certains récits de travaux fondateurs, certains portraits de chercheurs, étaient devenus, sous sa plume alerte et son style enjoué, de véritables hagiographies. C’était la Parapsychologie conquérante contre le Matérialisme borné, la foi des vrais passionnés contre l’ignorance crasse des porte-parole de la “science officielle”… Avec cet ouvrage, Nicolas entendait peut-être montrer comment la véracité des faits psychiques (en réalité, plutôt des témoignages - différence fondamentale !) écrasait une bonne fois pour toute l’idéologie totalitaire des rationalistes de tous poils…

J’ai gommé une bonne partie de cet aspect “militant”, et cela pour deux raisons bien simples. D’une part, parce que je n’ai jamais été vraiment persuadé que la parapsychologie deviendrait intéressante et crédible si elle passait son temps à s’auto-célébrer en se contentant d’ignorer les “faits gênants” et les accidents de parcours. Je suis aussi parti du principe que s’il y avait vraiment des faits psychiques, des dossiers qui tenaient la route, leur simple exposé devait suffire à convaincre le lecteur de bonne volonté… Ensuite, j’étais moi-même dans l’expectative en commençant la rédaction de l’ouvrage. Ouvert à la réalité des phénomènes étudiés par les parapsychologues, mais n’ayant que rarement eu l’occasion d’en constater par moi-même (et jamais dans des conditions de contrôle suffisantes à mon goût), je voulais apprendre en écrivant sur le sujet, avoir un regard neuf et aussi objectif que possible. Approche incompatible, me semblait-il, avec le style volontiers partisan qu’avait choisi Nicolas.

A l’origine, l’ouvrage devait couvrir toute l’histoire des recherches en métapsychique/parapsychologie, des débuts jusqu’à nos jours. Mais en cours de route, je m’étais rendu compte qu’un tel travail était impossible en un seul volume. A partir des années 1950, la parapsychologie se “professionnalise”, pourrait-on dire, et s’installe dans des universités, en relevant le niveau d’exigence des procédures, des protocoles, l’analyse des résultats, etc. C’est l’histoire de toute une nouvelle discipline, cernée par les polémiques, les fraudes et les adversaires idéologiques, qu’il fallait (re)commencer à raconter. Et en me plongeant dans certains dossiers célèbres, par exemple la carrière haute en couleur d’Uri Geller à partir des années 1970, ou les recherches en URSS pendant la guerre froide, je me rendais compte que pour bien faire, pour raconter le détail de ces expériences et de ces polémiques, il me fallait encore des mois et des mois de travail, de vérifications patientes, de recoupement de sources diverses, de discussions avec tel ou tel spécialistes, etc. Bref, c’était un deuxième livre qui s’annonçait…

A moins de rédiger de simples résumés comme on en trouve régulièrement dans nombre d’autres livres sur ces sujets, rédigés à la va-vite, sans précaution, dans le simple but de “faire des ventes” avec des histoires incroyables… Chose que ni moi, ni Nicolas, j’en suis persuadé, n’avions jamais eu l’intention d’entreprendre. J’ai donc finalement pris la décision d’arrêter l’ouvrage à une date symbolique, décembre 1969, lorsque la Parapsychological Association est affiliée à l’AAAS, l’association internationale qui fédère toutes les sociétés scientifiques de par le monde. Pour l’anecdote, j’avais envisagé, dans un premier temps, de sous-titre l’ouvrage “Comment la parapsychologie devint une science”.

Il reste, désormais, à écrire la suite de cette histoire de la parapsychologie… Car entre 1969 et aujourd’hui, il s’en est passé des choses ! Et encore bien plus que Nicolas et moi ne pouvions l’imaginer, lors de notre première rencontre en 1997, autour du sous-marin USS Nautilus et de ce sacré Jacques Bergier…

Klein d’oeil
Le site perso de Nicolas, où l’on trouvera notamment ses textes littéraires et ses dessins sur ordinateur.

Journaliste de la presse ésotérique : un métier inclassable ?
Long entretien d’Eric Maillebiau, alors étudiant en journalisme, avec Nicolas Maillard (parmi d’autres journalistes spécialisés), à propos du métier de journaliste dans le domaine du “paranormal”. Il s’agit de la deuxième partie de la thèse d’Eric, qu’on retrouve en totalité sur la page consacrée aux travaux universitaires du site de Pierre Macias, Psiland.

Interview avec Nicolas Maillard à propos de l'autopsie de Roswell
Un entretien que Nicolas avait accordé à Thierry Whatelet (fondateur de l’UFOCOM) en 1997, à propos du film de l’autopsie de l’extraterrestre de Roswell.

The StarGate Collection
Un projet de Nicolas qui consistait à traduire en français, et à réunir en un seul site, tous les documents accessibles sur le fameux projet américain StarGate.

Enigma
Enigma était une initiative de Nicolas et de son ami Didier Dufresnoy, lui aussi journaliste, afin de créer une sorte d’agence de presse spécialisée dans les services de renseignement.

Le livre des rêves
Un ouvrage publié en février 2000, co-écrit par Nicolas Maillard et deux autres auteurs.

A Nicolas Maillard
Sur le site du groupe ufologique suisse le GREPI, l’hommage de Francine Fouéré, la grand-mère de tous les passionnés d’ovnis en France.

L’hommage de Jean-Yves Casgha à Nicolas, dans la revue Science Frontières d’octobre 2000.

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  • Dernière modification : 2020/04/27 11:21
  • de Grégory Gutierez